La gestion de projets IT a profondément évolué au cours de la dernière décennie. Alors qu’autrefois, le PMO (Project Management Office) était considéré comme un pilier incontournable des grandes structures projet, sa présence devient aujourd’hui de plus en plus rare… voire inexistante dans certaines entreprises.
Vous êtes chef de projet IT, junior, en reconversion ou récemment promu ? Vous constatez peut-être ce phénomène de l’intérieur : vous êtes chargé de livrer un projet structurant, mais sans aucun support transversal, sans méthodologie préexistante, sans coordinateur PMO pour vous épauler. Et cette réalité n’est plus l’exception : elle devient la norme.
Historiquement, le PMO avait pour mission de :
Standardiser les pratiques de gestion de projet
Harmoniser les plannings et le reporting
Accompagner les chefs de projet dans les phases critiques
Assurer une cohérence méthodologique globale
Suivre la performance budgétaire et stratégique des portefeuilles projet
Mais face à la pression économique, à l’émergence des méthodes Agiles, et à la volonté des entreprises de gagner en agilité organisationnelle, le PMO est progressivement perçu comme un centre de coût ou un frein à la réactivité.
📊 Étude PM Solutions (2023) : 42% des entreprises interrogées ont réduit ou supprimé leur PMO au cours des 24 derniers mois, principalement pour des raisons budgétaires ou de transformation agile.
📉 Observatoire francophone de la gestion de projet (2024) : parmi les entreprises de moins de 500 salariés, seules 18% disposent d’un PMO formalisé.
👉 Résultat : de nombreux chefs de projets IT se retrouvent en situation de pilotage “sans filet”.
Sans PMO, vous avez la responsabilité, sans toutefois avoir les épaules, de :
Poser votre propre cadre méthodologique
Créer vos outils (fiche de cadrage, suivi, gouvernance…)
Piloter les arbitrages sans structure de validation
Gérer les ressources sans vision partagée
Porter la charge mentale et stratégique du projet… seul·e
Et si cette situation vous met sous pression, sachez qu’elle est aussi une formidable opportunité pour vous affirmer comme leader autonome et structuré, capable de livrer dans un contexte hybride, agile ou flou.
Même si la disparition progressive du PMO (Project Management Office) peut sembler déroutante pour les chefs de projet IT, elle est rarement le fruit du hasard.
Ce retrait est généralement lié à des stratégies de transformation, des conjonctures budgétaires, ou à l’adoption de nouveaux modèles organisationnels.
Voici les 4 causes principales à comprendre — pour mieux adapter sa posture en tant que chef de projet.
Dans un contexte économique tendu, de nombreuses entreprises cherchent à réduire leurs coûts fixes et indirects. Les structures comme le PMO, souvent perçues comme non directement productives, sont alors ciblées.
🔍 Exemple concret : dans un groupe industriel de 3 000 salariés, le PMO central a été dissous pour externaliser partiellement la gouvernance projet, confiant à chaque chef de projet la charge de suivre son propre budget.
Résultat : 12 projets sur 28 ont subi des retards critiques liés à une mauvaise coordination des ressources.
💡 Ce que cela implique pour vous : vous devez désormais justifier chaque ressource et chaque livrable, sans attendre un soutien transversal.
L’Agilité et ses dérivés (Scrum, SAFe, LeSS…) favorisent des modèles auto-organisés et des processus de décision courts. Dans ce paradigme, le PMO est souvent considéré comme trop rigide, voire contre-productif.
👥 Les rôles comme Product Owner ou Scrum Master prennent le relais partiel de certaines fonctions PMO… mais sans en garantir la vision transverse.
🧠 À retenir : dans un environnement agile, le rôle du chef de projet évolue : facilitateur, coordinateur, négociateur, il doit souvent gérer à la fois les livrables, les personnes… et les conflits.
Certaines organisations privilégient des structures plates ou matricielles, misant sur l’empowerment des équipes locales.
Résultat : chaque chef de projet devient responsable de sa propre gouvernance, de son reporting, de ses arbitrages.
📌 Cas réel : dans une mutuelle santé, la Direction IT a décidé de “confier les clés” aux chefs de projets métiers. Le résultat : de meilleures décisions locales… mais aussi un manque de cadre commun, source d’incompréhensions interprojets.
Enfin, certaines structures — notamment les startups, les collectivités locales, ou les entreprises en pleine croissance — n’ont jamais mis en place de PMO. Non par stratégie, mais par manque de temps, de moyens ou de maturité projet.
👉 Dans ces cas, chaque chef de projet IT est livré à lui-même, souvent sans grille de lecture claire ni référentiel méthodologique.
🧩 Votre enjeu : construire une structure adaptée, sans tomber dans le piège du formalisme excessif.
Piloter un projet IT sans PMO, ce n’est pas seulement perdre un appui organisationnel : c’est un changement radical de posture, de responsabilités et de dynamique. C’est devoir jongler avec les méthodes, les outils, les attentes… et surtout, prendre seul des décisions structurantes.
Si vous êtes junior, en reconversion ou récemment promu chef de projet, vous ressentez sans doute cette impression de “naviguer à vue”. Voici ce que cela change — concrètement — dans votre quotidien.
Dans un environnement avec PMO, une grande partie du cadre méthodologique est préétabli : modèles de livrables, étapes obligatoires, rituels de pilotage, formats de reporting.
Sans PMO, rien n’est balisé.
🧩 Vous devez :
Définir vous-même les étapes du projet (cadrage, conception, livraison…)
Créer ou adapter vos livrables
Décider de la méthode : Agile, prédictif, hybride ?
Convaincre vos parties prenantes que votre approche est solide
📌 Ce flou méthodologique peut devenir une force… si vous le canalisez avec cohérence.
Le PMO joue souvent un rôle de garant de la gouvernance : qui valide quoi, quand, sur quels critères ? Sans lui, c’est à vous seul de poser le cadre de validation, d’arbitrage et de communication.
🧠 Cela signifie :
Organiser des comités de pilotage même informels
Définir des circuits de validation clairs
Formaliser les rôles et responsabilités (RACI)
🎯 Vous devenez à la fois opérateur, diplomate et garant du cadre… sans la légitimité hiérarchique habituelle.
Sans PMO pour planifier les affectations et gérer les conflits de charge, vous devez négocier l’engagement des équipes une par une, souvent en compétition avec d’autres projets.
🛠️ Concrètement :
Vous adaptez votre planning à la disponibilité réelle des acteurs
Vous devez anticiper les tensions interprojets
Vous assurez seul le lien avec les managers fonctionnels
🟩 Étude de cas — Chef de projet sans PMO dans un contexte agile hybride
👉 Contexte : Le chef de projet d’une DSI mutualiste (profil junior issu du support IT) se voit confier un projet de dématérialisation RH. Aucune structure PMO n’est en place. L’organisation est en pleine transition agile.
📉 Constats :
Personne ne savait exactement “qui décide quoi” côté métier.
Les développeurs avançaient en sprint sans visibilité sur les jalons stratégiques.
Aucun reporting transverse.
✅ Actions mises en place :
Constitution d’un comité de pilotage informel mensuel
Création d’une fiche de cadrage simple validée par le sponsor
Mise en place d’un Trello partagé (planification visuelle)
Journal des décisions diffusé à chaque jalon
🎯 Résultat : projet livré avec deux semaines de retard… mais zéro conflit et une excellente perception côté client interne.
✅ Conseil du mentor
“Quand le cadre n’existe pas, créez-le. Ce n’est pas une faiblesse, c’est une démonstration de leadership.”
En l’absence de PMO, le chef de projet IT se retrouve exposé sur tous les fronts.
Cette situation, souvent subie, peut pourtant devenir une formidable opportunité de professionnalisation, à condition d’adopter une méthode claire et d’en faire une expérience structurante.
Voici les trois principaux défis rencontrés… et comment en sortir grandi.
🧩 Le problème
Sans cadre imposé ni livrables types, chaque projet semble recommencer à zéro. Vous devez réinventer la roue à chaque lancement :
Quelles étapes suivre ? Quel livrable produire ? Quelle méthode choisir ?
👉 Cela génère de la confusion, une perte de temps et une difficulté à convaincre les parties prenantes de la solidité de votre approche.
✅ Les solutions concrètes :
Créez votre propre mini-méthodologie basée sur des standards reconnus (Scrum, PMBOK, PRINCE2).
Rédigez une checklist de démarrage projet avec les étapes clés et les livrables à produire.
Formalisez 5 documents fondamentaux pour chaque projet :
Fiche de cadrage synthétique
Matrice RACI
Planning prévisionnel
Registre des risques
Journal des décisions
💡 Une méthodologie légère, mais constante, est plus puissante qu’un formalisme inutile.
🧩 Le problème
En l’absence de PMO, il n’existe aucune planification interprojets. Vous devez solliciter les acteurs vous-même, négocier leur disponibilité, et gérer les tensions en autonomie.
✅ Les solutions concrètes
Rencontrez rapidement les managers opérationnels concernés.
Proposez un calendrier glissant de vos besoins (simple Excel ou Google Sheet suffit).
Organisez des points hebdomadaires pour anticiper les goulots d’étranglement.
Créez une vue partagée de l’affectation des ressources, même rudimentaire, pour éviter les conflits.
💬 En l’absence de coordination globale, votre rigueur fait la différence.
🧩 Le problème ?
Quand il n’y a pas de PMO pour cadrer la gouvernance, chaque décision devient une négociation. Vous avancez dans un flou décisionnel où la légitimité est floue et les arbitrages se multiplient.
✅ Les solutions concrètes
Posez un cadre de gouvernance dès le lancement du projet (qui décide de quoi, à quelle fréquence).
Appuyez-vous sur une matrice RACI pour clarifier les rôles.
Constituez un groupe de pilotage, même informel.
Diffusez régulièrement un journal des décisions avec date, contexte, et acteurs impliqués.
🧠 Vous ne gagnez pas en autorité par le statut, mais par la clarté et la cohérence de vos décisions.
Quand on pilote un projet IT sans PMO, il est essentiel de ne pas avancer à l’aveugle. Vous devez créer votre propre cadre de pilotage, avec des outils simples, cohérents et faciles à partager.
Mais attention : il ne s’agit pas d’accumuler des documents inutiles. Il s’agit de construire un socle opérationnel léger, qui vous sécurise, vous crédibilise, et vous permet de garder la main sur votre projet.
Voici les 6 outils indispensables à mettre en place dès le démarrage de votre projet.
🧭 Objectif : aligner toutes les parties sur les bases du projet.
Elle synthétise les informations clés à connaître : périmètre, enjeux, livrables, contraintes, planning prévisionnel, parties prenantes.
📌 Astuce : limitez-la à 2 pages maximum pour rester percutant.
Contenu recommandé :
Objectifs stratégiques et fonctionnels
Enjeux critiques (délai, budget, sens politique)
Parties prenantes principales
Livrables majeurs
Planning simplifié
Risques majeurs identifiés
🗓️ Objectif : rendre l’avancement visible, lisible et partageable.
Pas besoin d’un Gantt complexe. Utilisez Trello, Notion, TeamGantt ou même Excel pour représenter les jalons et les périodes d’activité.
💡 L’important, c’est que tout le monde voie la même chose.
🚨 Objectif : anticiper les dérapages et gagner en crédibilité.
Tenir un registre des risques montre que vous pilotez avec lucidité.
Structure type (exemple):
Risque Probabilité Gravité Impact Plan de réponse Responsable
🧩 À mettre à jour à chaque jalon. Les risques ignorés deviennent des urgences.
🧠 Objectif : clarifier qui fait quoi, qui décide, qui est consulté, qui est informé.
C’est votre meilleur allié pour désamorcer les conflits de rôle et éviter les “zones grises”.
✅ À co-construire avec les parties prenantes au lancement du projet.
📝 Objectif : documenter les choix faits et sécuriser les engagements.
Un tableau simple suffit, partagé à l’équipe projet et aux sponsors.
Contenu minimal :
Date Sujet Décision Acteurs Contexte Référence
🧱 En cas de doute ou de conflit, ce journal devient votre mur porteur.
📊 Objectif : centraliser les indicateurs clés de votre projet.
À présenter en comité projet ou en point d’avancement hebdo.
À inclure :
Taux d’avancement global
État des livrables (en cours, validés…)
État des risques
Planning prévu vs réalisé
Points d’arbitrage
Piloter un projet sans PMO, c’est avancer avec plus d’autonomie… mais aussi plus de risques. Sans garde-fous méthodologiques, ni structure de supervision, certaines erreurs récurrentes reviennent sur le terrain.
La bonne nouvelle ? Elles sont presque toutes évitables avec un peu de recul et de méthode.
Voici les 4 erreurs les plus fréquentes constatées chez les chefs de projet IT en solo — et des correctifs simples et concrets à mettre en place dès aujourd'hui.
❌ L’erreur
En l’absence de cadre structurant, on compense souvent par un excès de documentation : fiches, plans, rapports, checklists… souvent inutilisés, ou jamais lus.
👉 Résultat : surcharge administrative, perte de temps, et déconnexion du terrain.
✅ Comment corriger ?
Concentrez-vous sur 5 à 6 livrables vraiment utiles au pilotage et à la prise de décision.
Supprimez tout ce qui n’est pas exploité activement.
Testez le principe : “si ce livrable disparaît, est-ce que le projet avance moins bien ?”
❌ L’erreur
Sans PMO, certains profils juniors ou en reconversion n’osent pas décider, par peur de mal faire. Résultat : décisions reportées, jalons bloqués, parties prenantes frustrées.
✅ Comment corriger ?
Cadrer la gouvernance dès le début : qui valide quoi, dans quels délais ?
Créez un cadre d’autonomie (ex. : “vous pouvez arbitrer seul jusqu’à 5 k€ ou 2 semaines de délai”).
Acceptez que décider, c’est aussi assumer. Ne pas décider, c’est bloquer le projet.
❌ L’erreur
Certains chefs de projets techniques se focalisent sur la solution ou la livraison, au détriment de la relation. Résultat : résistance passive, manque d’adhésion, retour en arrière.
✅ Comment corriger ?
Identifiez vos acteurs clés dès le début : sponsors, utilisateurs finaux, référents métier.
Organisez des points d’écoute courts, mais réguliers.
Intégrez leur retour dans la démarche. Il vaut mieux ajuster en cours de route que réagir sous tension.
❌ L’erreur
Sans structure de soutien, beaucoup de chefs de projet avancent seuls, sans regard extérieur. Cela peut mener à un effet tunnel : on avance… mais potentiellement dans la mauvaise direction.
✅ Comment corriger ?
Imposez des points de synchronisation réguliers, même informels.
Faites valider vos livrables de manière itérative (ex. : “est-ce que ce planning te semble cohérent ?”).
Cherchez du feedback actif : collègues, mentors, utilisateurs, partenaires.
🟩 Conseil du mentor
“On ne vous reprochera jamais d’avoir demandé conseil, mais on vous reprochera souvent d’avoir voulu tout faire seul.”
Piloter un projet sans Project Management Office (PMO) ne signifie pas improviser. Cela signifie structurer soi-même un cadre clair, souple, mais solide.
Voici une méthode opérationnelle en 6 étapes, testée sur le terrain, adaptée aux profils juniors ou en reconversion.
🎯 Objectif : Clarifier les bases du projet avant toute réunion officielle.
Listez toutes les informations connues : objectifs, contraintes, livrables attendus, acteurs clés.
Créez une fiche projet préliminaire (2 pages max) pour formaliser vos idées.
Recensez les zones de flou à éclaircir lors du lancement (budget, périmètre, délais, etc.).
💡 Outil conseillé : [Fiche de cadrage MentoratGP] à venir dans la bibliothèque de templates.
Objectif : Obtenir un alignement fort entre les parties prenantes dès le début.
Invitez le sponsor, le client interne, les métiers, et toute personne clé.
Faites valider le périmètre, le planning cible et la gouvernance.
Documentez cette réunion avec un compte rendu structuré + journal des décisions.
💬 Astuce : Même une réunion de 45 minutes bien cadrée vaut mieux qu’un mail trop flou.
🎯 Objectif : Éviter de tout réinventer au fil de l’eau.
Créez ou adaptez les livrables suivants :
Planning visuel (Gantt, Kanban, ou macro-tableau)
Registre des risques
Matrice RACI
Plan de communication
Journal des décisions
✅ Ces éléments vous serviront de colonne vertébrale pour piloter sans stress.
🎯 Objectif : Rythmer le projet et éviter les dérives silencieuses.
Organisez des points hebdomadaires ou bimensuels avec les acteurs clés.
Partagez un tableau de bord synthétique (1 page, visuel, actualisé).
Ajustez planning et priorités à chaque cycle.
📌 Conseil : Même une réunion courte mais régulière crée un effet de discipline collective.
🎯 Objectif : Garder la trace des décisions, changements et ajustements.
À chaque jalon, rédigez une courte synthèse (avancement, décisions, alertes).
Utilisez un format standardisé pour éviter les oublis.
Centralisez tout sur un outil accessible à tous (Google Drive, Notion, Sharepoint…).
🔒 En cas de conflit, cette documentation devient votre meilleure protection.
🎯 Objectif : Valoriser le travail accompli et capitaliser pour l’avenir.
Tenez une réunion de bilan avec retours d’expérience.
Mettez à jour vos modèles pour les réutiliser plus tard.
Organisez un archivage structuré des documents.
📘 Astuce : proposez un REX visuel (timeline, enseignements clés, graphiques). Cela vous crédibilise énormément auprès du sponsor.
Lorsque l’on pilote un projet IT sans PMO, l’attention est souvent centrée sur les livrables, les délais, les risques ou les outils. Mais il existe un autre facteur, tout aussi stratégique : votre état mental et émotionnel.
En l'absence de structure de soutien, de mentorat ou de repères organisationnels solides, le facteur humain devient un véritable enjeu de performance.
Sans PMO, vous devenez :
la vigie du projet,
le centre de gravité de toutes les décisions,
le point de contact unique pour toutes les tensions.
🎯 Résultat : charge mentale, solitude décisionnelle, épuisement progressif.
➡️ Conseil : fixez des limites dès le départ. Prévoyez des temps de recul. Planifiez des moments off. N’attendez pas le débordement
🚨 Dans les contextes sans gouvernance claire ni validation méthodologique, il est courant de douter de sa légitimité :
“Est-ce que je fais bien ?”
“Suis-je à la hauteur ?”
“Pourquoi moi ?”
Ce syndrome est renforcé chez :
les chefs de projet juniors,
les profils en reconversion,
les freelances ou indépendants isolés.
➡️ Conseil : ne restez pas seul. Parler de vos doutes avec un pair, un coach ou un mentor permet de les désamorcer.
📌 Il est possible de construire un réseau solide autour de vous :
Réseaux de pairs (ex : LinkedIn, communautés Discord/Slack de PM)
Groupes Meetup autour de l’Agilité, des métiers IT, etc.
Mentorat informel (anciens collègues, managers expérimentés)
Coaching professionnel pour travailler la posture et la clarté
🧠 Rappel : l’autonomie ne signifie pas l’isolement. Vous avez le droit de demander, de partager, de questionner.
Accomplir un projet en autonomie vous permet de :
développer une vision globale et stratégique
maîtriser les outils et les techniques de pilotage moderne
renforcer votre capacité à décider, arbitrer, prioriser
apprendre à écouter, convaincre, embarquer
🎓 C’est une école de maturité professionnelle. Les recruteurs et clients apprécient cette capacité à évoluer dans un environnement sans filet, en contexte Agile, hybride ou incertain.
🔚
Vous n’êtes pas “juste” en train de tenir un projet à bout de bras. Vous êtes en train de construire une posture de chef de projet stratégique, résilient, et centré humainement.
Piloter un projet IT sans PMO, ce n’est pas faire “sans rien”.
C’est faire autrement.
C’est poser vos propres fondations, assumer votre méthode, prendre de la hauteur… et livrer malgré la complexité.
Vous venez de découvrir :
les raisons de la disparition progressive des PMO,
l’impact que cela a sur votre posture de chef de projet IT,
les outils essentiels pour piloter seul,
les pièges fréquents à éviter,
une méthode pas à pas pour structurer vos projets sans filet,
et l’importance de prendre soin de vous-même dans cette équation.
Tout cela vous permet de sortir du mode survie, pour entrer dans une posture proactive, crédible et reconnue.
Vous êtes désormais capable de :
structurer un projet dès le cadrage,
créer vos propres outils avec rigueur,
embarquer les parties prenantes,
arbitrer dans l’incertitude,
et tenir un cap même sans référentiel imposé.
👉 Ce sont là les qualités d’un chef de projet IT complet, que ce soit en environnement Agile, hybride, ou non structuré.
Chaque difficulté traversée sans PMO vous fait gagner en impact.
Vous ne subissez plus l’absence de cadre.
Vous devenez celui ou celle qui structure.
Vous développez une vision projet globale, et ça, aucune formation ne vous l’enseigne vraiment.
Si cet article a résonné avec votre situation, sachez que vous n’êtes pas seul(e).
Chez MentoratGP, nous accompagnons chaque année des chefs de projet juniors, en reconversion ou en autonomie, à :
sécuriser leur méthode,
clarifier leur posture,
structurer leur roadmap,
et gagner en légitimité… dès les premiers projets.
Vous êtes autonome, mais vous ne devriez pas être isolé.
👉 Réservez maintenant votre appel stratégique gratuit de 30 minutes pour faire le point sur votre posture, vos outils, et votre trajectoire :
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📩 Ou contactez-moi directement : contact@mentoratgp.com
Parce que réussir un projet sans PMO, c’est aussi réussir une transformation professionnelle personnelle.
À PROPOS
Un accompagnement sur mesure pour maîtriser tous les leviers de la gestion de projets IT : méthodes, outils, posture, et pilotage. Coaching, mentorat et bientôt des formations concrètes en ligne et en présentiel.
MENTORATGP PAR HENRY ACOLATSE
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